11 septembre 2006

Slash


Désolée, j'ai trouvé cette définition, et maintenant je ne peux pas m'empêcher de pleurer de rire... La connaissance ça a du bon!

Slash:

Une slash-fic est une fanfic mettant en scène une relation homosexuelle. Elle peut être simplement romantique ou carrément érotique. Il peut y avoir une intrigue ou absolument aucune.
Le nom provient de la barre oblique séparant les deux éléments de la relation et est apparu dans les années soixante avec les fanfics Kirk/Spock (Star Trek) qu'on appelait K/S (prononcé "K slash S") stories.



Spock et Kirk.... Spock et Kirk!!! Ahahahahhahahahahha, je veux trop voir un épisode de Star Trek!!!

Je n'ai donc pas la palme du cerveau le plus étrange du siècle, car des personnes ont osé penser à ce pairing plus que particulier!

Un seul mot: BRAVO!!!

Ce à quoi vous avez échappé...


Madré de Dios.
Je suis dans un état second. Ma télé, ma game cube, mon ordi sont tous les trois allumés et on doit frôler la surcharge du côté de la prise multiple. Ce qu'il peut faire chaud ici!

Que fait une saleté de geek qui ne peut pas se décoincer de son matos même pendant les vacances d’été ? Bah, comme toute personne de peu d’intelligence, elle commence sa journée en fouillant sous l’oreiller pour trouver son portable, et vérifier si il y a pas de message, ensuite elle écoute un peu de musique par l’intermédiaire du sympathique lecteur mp3 se trouvant sous ce même oreiller. Par la suite, la faim et l’appel de la nature se faisant sentir, la bête se lève pour répondre aux divers appels de mère Nature… Et comme toute une chacune, ou presque, elle tatane du Ganondorf et lit des fanfics Harry Potter, qu’elle a préalablement embarqué pour le voyage.

Total, le bronzage ne sera pas garanti. Mais est ce ma faute si il pleut depuis quatre jours ? Avant ce changement climatique, mes journées se limitaient à vérifier la pilosité de mes jambonneaux avant de filer vers la Mer.





Plus morte qu’Adèle, et le poing fermement enfoncé dans la gorge pour étouffer des glapissements de pauvre fille givrée, je m’aime à ne plus savoir que faire de mon propre amour. Si c’est pas beau de voir tant de sentiment en une seule et même personne ! Et tout ça par le simple biais d’un matage de vidéos de mes très chers Dirus.

Kyo est fantastique. J’ai failli me pisser dessus, comme une midinette devant le feuilleton de l’été de TF1, quand il a entamé Taiyou no Ao durant un concert de la période « macabre tour ». La puissance de ce type m’étonnera toujours, ainsi que ma faculté à sentir mes globes oculaires glisser de leur chez eux, quand il se met à sourire.
Et je ne parle pas des autres.
Et je ne parle pas de Kaoru.
Il faut à tout prix que je trouve la version audio d’Audrey avec l’intro ultra personnelle de ce cher Die, qui est absolument magnifique ! Et que dirais-je de ces quelques secondes, où Kyo chante Yokan dans un tempo très lent et un accompagnement très doux à la guitare ?

Je suis tellement barge depuis que j’ai vu ces vidéos, que je suis entrain de me demander si il ne serait pas bon de donner mon corps à la science.





Ahaha, et voilà que telle une splinter Cell en jupette, je m’en vais assouvir mon plus vil péché, j’ai nommé l’écriture du fameux chapitre de « Japanese Heroez Family » qui ne pourra, vraisemblablement, jamais être inclu à l’histoire. Triple hourra !

J’ai également ma -non moins fameuse- suite du Mariage du Ciel et de l’Enfer qui commence à déborder sur la gazinière, mais le pire est peut être la fic sur Zelda que j’ai commencé il y a un bon millénaire de ça et que je continue au gré de mon bon vouloir…

Cependant, j’ai pour moi des alibis en béton vibré ! En effet, la lecture d’une fic fleuve d’au moins 300 pages me pompe pas mal d’énergie, ainsi que « Zelda : Ocarina Of Time, the master quest » dans lequel j’ai irrémédiablement replongé, honte à moi, et mes activités spéciales vacances que sont le bronzaillement de ma peau blafarde, les bains réguliers dans une eau à 19 degré, et le réveil aux alentours de 11h/11h30. (Sachant que je me couche à 2h, ça n’a vraiment rien de scandaleux, je précise.)


Mais bon, avec un peu de volonté je lâcherais le chapitre inutile de « Japanese » et me focaliserais sur la fic à propos de Zelda… Et peut être même que je mettrais à plat cette histoire de suite de MCE pour voir où je vais.

Ou pas.

Je dois bien reconnaître que dans un égoïsme primaire –qui me caractérise, la seule chose qui m’intéresse n’est ni la petite quantité de lecteurs dans l’attente d’une suite à mes écrits divers (une quantité qui somme toute est quand même faible, mais bon, un lecteur c’est un lecteur non de non!), ni la recherche de l’inspiration, mais plutôt l’admiration de mon super fond d’écran bricolé à partir d’un autre déjà existant. Sans mentir, ce fond d’écran est un rien classieux. En un mot comme en mille, il répand de l’amour dans mon petit cœur.

>>> Résultat : je n’ai absolument pas touché à la fic sur Zelda, car il me manque des brouillons que je n’ai pas avec moi. Je n’ai pas lâché le chapitre inutile de « japanese… », j’en ai même écrit un deuxième. La suite de MCE est restée intouchée, j’avoue que je ne sais même plus dans quel dossier elle se trouve. Et enfin, je n’ai pas réussi à terminer Ocarina of time à cause d’un bug du jeu.