En bonus, un résumé d’un épisode de 7 à la maison au hasard :
- Tout le monde se lève pour aller à l’école, tout le monde court partout. Les filles cherchent dans fringues introuvables sauf par leur mère, qui par définition les trouve tout de suite.
* C’est si subtile le vieux cliché des mamans qui savent tout et des filles qui pensent qu’à leur fringues.*
- Un problème survint dans le traintrain quotidien de la femme/le mari/les deux filles aînées/ le fils aîné.
- Le fils cadet, 12 ans au compteur, a pour seul préoccupations de la journée de mettre son appendice buccal entre les lèvres glossées de sa copine, et en partant dans des discussions sur les relation homme/femme et leur complexité avec un des membres plus âgé de sa famille.
* Même si jouer sur le décalage peut être drôle un temps, on finit très rapidement par se lasser, et trouver que la nouvelle coiffure de ce mioche (qui change à chaque épisode) est carrément gerbative.*
- La fille cadette, 4/5/6 ans ?, relève elle d’une expérience génétique (qui a raté). La plus insupportable gamine que les directeurs de casting on pu trouver, ils l’ont pris. Pourquoi ? Parce qu’on reconnaît à coup sûr un air de famille avec les autres ? Ahahaha ! Mais bien sûr ! La pauvre enfant possède une chevelure ultra brune et ultra bouclé, alors que ceux qui sont censé être sa famille sont majoritairement blonds ou châtains. Les parents ayant tous les deux des tignasses clairs, c’est vraiment des plus étrange. Enfin, mis à part ça, cette immonde petite peste, qui vous fait craindre d’avoir des gosses, est carrément insupportable. C’est le profil type de la petite dernière gâtée pourrite, avec une double dose de pourri dessus (miam).
*Heureusement que la réalité n’est pas une sitcom américaine.*
- Les problèmes rencontrés par à peut près tout les persos obligent les persos à aller se parler entre eux pour chercher conseil (que ce soit volontaire ou non), et ils se trouvent que comme par magie ces problèmes sont beaucoup plus ressemblants qu’on aurait pu le croire au premier abord ! Trop fantastique, isn’t it ?!!!
- Le père pleure. (Le père pleure invariablement, qu’il soit triste, heureux, en colère (donc triste) , parce qu’il trouve que la vie est formidable (donc heureux)… et donc le père est très très chiant, c’est vraiment un gros boulet.)
- Le père et la mère essaie de se grimper dessus à tout bout de champ pendant l’épisode, pour bien montrer que Dieu il est bien content quand les papas et mamans (mariés) vont faire des galipettes dans leur chambre et que par conséquent la religion ne culpabilise pas les gens à cause des rapports sexuels. (Oh my God, I’m rolling on the floor laughing.)
- Tous les problèmes s’arrangent (hyper géniale la vie quand même) et le père trouve enfin l’inspiration pour écrire son sermon (même si on est que mardi.)
Alors on peut se moquer aujourd’hui de Charles Ingalls qui va couper du bois, pendant que Charlotte fait encore et toujours une tarte aux pommes, et que les enfants savatent sa face à la méchante Nelly Holson, mais j’ai un peu l’impression que « 7 à la maison », c’est tout autant nullos.